
Ce soir là, devant mon petit écran, en prenant connaissance de cette nouvelle, je m’imaginais devoir expliquer cette décision à des personnes qui luttent quotidiennement contre la maladie. C’est ainsi que j’en suis venue à cette opinion personnelle : si le recours au suicide assisté pour des personnes condamnées par la maladie m’apparaît compréhensible, y recourir alors qu’aucun diagnostic vital est en jeu, me paraît complètement invraisemblable.
Le prix de la vie est inestimable, et c’est en voyant ces personnes lutter pour le droit de vivre, que l’on s’en rend compte.
Il me semble que cette décision ne fait que révèler un type d’abus de la légalisation du suicide assisté.
Camille GAIOR
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